Ici, on parle de nourriture, locale, durable et aussi de terroir.
Si tu veux publier une recette, un savoir faire ou toute autre connaissance sur le goût, n'hésite pas à publier un article
Publier un article sur notre blogS’il est un secteur qui n’est pas impacté par la crise sanitaire, c’est bien celui des produits fermiers. Non seulement il n’est pas touché, mais, il s’est même inscrit dans une démarche de développement exponentiel. Et pourtant, la vente de produits fermiers en magasins et en ligne n’est pas si ancienne que cela et cet engouement oblige les responsables à s’adapter aux modes de vie de leurs clients pour répondre à leurs exigences.
LireIl semble, depuis quelques temps, que les consommateurs privilégient les achats de produits fermiers. Délaissant les grandes surfaces, ils préfèrent de plus en plus s’orienter vers des denrées saines, gage d’une qualité indéniable. De fait, de nombreux magasins physiques ouvrent leurs portes, rassemblant plusieurs professionnels et proposant à la vente une gamme élargie de produits. Mais, la conséquence la plus spectaculaire reste la quantité exponentielle de plateformes du goût déjà installées ou naissantes sur internet. Alliant produits sains et confort d’achat, le nombre des adeptes augmente jour après jour.
LireDepuis quelques années, une nouvelle philosophie d’achat fait son apparition : le locavorisme. Acheter des produits frais à moins de deux cent cinquante kilomètres de son domicile est devenu un enjeu majeur à bien des points de vue. Un rapprochement avec les petits producteurs s’est opéré. Le renouveau de la vente en circuit court gagne ainsi petit à petit du terrain, concrétisé soit par la vente directe, soit par la vente indirecte à condition qu’il n’y ait qu’un seul intermédiaire.
LireDepuis quelques années, les adeptes du locavorisme achètent leurs produits localement au moins en ce qui concerne la nourriture. Loin d’être une mode, ce fonctionnement revêt des enjeux considérables à tout point de vue.
Lire« Manger local » est devenu, depuis quelques années, la nouvelle façon de consommer pour bon nombre de personnes. La récente épidémie de Covid-19 a d’ailleurs eu un impact très positif, certains consommateurs découvrant ou redécouvrant qu’à côté de chez eux des petits producteurs étaient en mesure de leur fournir de quoi se substanter. Le locavorisme a l’air d’avoir fait de nouveaux adeptes !
LireDepuis quelques années et grâce au locavorisme, les petits producteurs ont le vent en poupe. Cette philosophie du « bien consommer » a en effet permis une réhabilitation de ces professions et les français, adeptes de ce mouvement, redécouvrent ces métiers nobles à deux pas de chez eux. Le locavorisme, né aux Etats-Unis, répond à des critères bien précis.
LireDepuis quelques années, une nouvelle façon de s’achalander est apparue : le locavorisme. Tout droit venue de San Francisco, cette tendance a été impulsée par trois femmes en 2005 lors de la Journée mondiale de l’environnement. Toutes les trois sont cuisinières et l’une d’elles, Jessica Prentice, est aussi écrivaine. Elles ont eu l’idée ingénieuse de se procurer les matières premières dans un rayon limité autour de chez elles. Puis, elles ont proposé à des volontaires de tenter une expérience et de faire de même : se nourrir exclusivement avec des produits locaux pendant un mois.
LireLe locavorisme, nouvelle philosophie de consommation, n’autorise l’achat de produits que dans un rayon d’un maximum de deux cents kilomètres en privilégiant toutefois le moins de distance possible. Cette façon de consommer permet ainsi d’acheter de la nourriture localement en circuits courts, de privilégier les produits de saison et donc de limiter le gaspillage alimentaire. Et les objectifs sont clairement définis. Ils intègrent des notions de responsabilisation et de prise en compte des problèmes écologiques en limitant notamment les émissions de CO2 dans l’atmosphère, en supprimant ou restreignant de façon drastique l’utilisation de produits sanitaires, de pesticides et d’engrais et en annihilant les méfaits de la monoculture.
LireLa permaculture est connue depuis quelques dizaines d’années déjà. Née en Australie en 1970, d’après une inspiration japonaise, le principe, au tout début, est basé sur la diversification et une production naturelle des cultures. Quelques années plus tard, le terme a pris une toute autre ampleur. Il s’agit maintenant d’une façon globale d’appréhender la vie. Prendre soin des hommes et des animaux, soigner la terre, produire pour la planète entière et redistribuer les richesses sont devenus les piliers fondamentaux de la permaculture.
Lire